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| | | La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] |  |
| | | Auteur | Message |
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Karl Hudson
Bibliothècaire
 Humeur : ![La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] Emoticon__Secretly_in_Love_by_Thirteen_Autumns](https://2img.net/h/fc28.deviantart.com/fs21/f/2007/289/4/e/Emoticon__Secretly_in_Love_by_Thirteen_Autumns.gif)
 Baguette Magique : 22 cm, Bois de chêne, ventricule de dragon
Statut Sorcier : Pur
Animal de Compagnie : Rat
Nourriture Favorite : ![La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] Poire](https://2img.net/h/www.favicon.fr/icones/nature/fruits_legumes/poire.gif)
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Feuille Phoenixiene
Gallions: 50
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Journal à Notes:
| Sujet: La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] ![La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Lun 11 Mai - 15:51 | |
| Pauvre Karl, il était encore tourmenté par cette histoire avec une élève de Gryffondor. Il ne savait plus comment s’y prendre avec cette petite. Le bibliothécaire faisait une mise au point dans son esprit alors qu’il marchait paisiblement en direction de son lieu de travail. Oui, c’est bien la bibliothèque. S’il s’en lassait ? Mais non, pas le moins du monde. Le jeune homme prenait son métier très à cœur. Voilà que l’année avait débuté depuis quelques mois et déjà, il avait tissé des liens avec la plupart des élèves. Bon d’accord, c’est souvent les plus sérieux mais bon. Karl aimait apporter ses connaissances aux élèves qui en avaient besoin et qui lui demandait. Il faut dire que la bibliothèque comporte un nombre incroyable de livre. Il était plus judicieux de lui demander quand on avait besoin de quelques choses sinon, on en avait pour un moment. L’avantage de Karl, c’est qu’il avait une connaissance quasi-totale des œuvres présentent ici. De toute façon, c’était son but premier, venir à Poudlard pour ses ouvrages.
Il était encore de bonne heure… Aucuns élèves n’étaient dans les couloirs. L’odeur des livres en entrant dans la pièce l’imprégnait, c’était à la fois agréable et rassurant pour le bibliothécaire. Il avait un gros problème qui n’en était pas un pour lui mais que les autres ne comprennent souvent pas. Karl ne supporte pas la foule. Le fait d’être entouré d’une vingtaine de personne lui fait perdre ses moyens. Ou encore, être trop près de son interlocuteur. S’il reste distant avec vous, ce n’est pas parce que vous puez mais pour son bien être. C’est pour cela que le jeune homme apprécie son métier qui l’isole un peu du mon extérieur. De plus, la bibliothèque n’est pas ouverte tout le temps aux élèves. Il en profite pour apprendre ce qu’il peut et à s’entraîner. N’ayant pas fini totalement son apprentissage en magie, il cherche à devenir plus fort…
Karl alla ouvrir la fenêtre de la bibliothèque, il faisait bon… Dans trente minutes, des élèves commenceraient à apparaître. Espérons qu’il y est quelques insolents. C’est toujours drôle d’avoir des élèves qui essayent de l’énerver, en vain. Il les renverra avec plaisir comme à chaque fois. Ne sachant pas quoi faire, tout était fait depuis la veille… Karl décida de se métamorphoser. Oui, le jeune homme était un Animagus. En un clin d’œil, un chat avait pris la place du bibliothécaire. Pour les habitués, ce chat était toujours présent quand Karl était absent. Un matou noir avec le bout des pattes et le museau blanc. Agilement, il sauta sur le bord de la fenêtre et prit un bol d’air frais. S’enivrant de la multitude de parfum que lui offrait la nature et de la vue magnifique du parc en détail.
* Ce beau ne donne pas envie de travailler… Pauvres élèves. *
Quand la porte de la bibliothèque claqua, il se retourna vivement puis sauta à terre avant de se métamorphoser aussi vite que quelques minutes plus tôt, avant que l’intrus ne le voie. En effet, c’était un secret… Karl n’est pas un Animagus déclaré… Il aurait de très gros problème s’il se faisait prendre ou dénoncer… Une longue cavale. Croisant les bras contre son torse, adossé au rebord de la fenêtre, il attendait de voir l’élève qui l’avait dérangé ou bien un professeur ? | |
| | | | Cassandre J. Slyfeld
:: Serpentard ::
Elève de 5ème Année
Humeur : ![La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] WTF__emoticon_by_Suzaku_i_Sei](https://2img.net/h/fc22.deviantart.com/fs21/f/2007/234/5/8/WTF__emoticon_by_Suzaku_i_Sei.gif)
Baguette Magique : 26 centimètres, bois d'érable, crin de Sombral
Statut Sorcier : Sang Mêlé
Animal de Compagnie : N'en a pas
Nourriture Favorite : ![La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] Raisin](https://2img.net/h/www.favicon.fr/icones/nature/fruits_legumes/raisin.gif)
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| | Sujet: Re: La Bibliothèque, ses livres passionants, ses fauteuils confortables, son bibliothècaire extraordinaire... Ou pas. [Pv.Cassandre] Mar 12 Mai - 0:40 | |
| Cassandre était de mauvaise humeur. Tombée du lit pour cause de corbeau encombrant et contrarié de ne pas avoir été nourri la veille, elle avait, avec l’amabilité d’un troll des montagnes lui aussi de mauvaise humeur, envoyer balader autant son foutu animal de malheur que ses colocataires de dortoir – de toute façon, elles étaient trop dans le pâté pour s’être vraiment rendues compte de quelque chose. Incapable de trouver le sommeil, surtout à une demi-heure de l’heure normale du lever des cinquièmes années féminines, Cassandre avait tout simplement filé sous la douche, dans le coton. On pouvait dire ce qu’on voulait, mais la jeune Sang-Mêlée était loin d’être du matin, surtout quand on la réveillait avant l’heure – et en la faisant sursauter, de surcroît.
Quitte à être debout, et avoir l’humeur de Grincheux, autant passer ses nerfs sur quelque chose d’utile, qui ne nécessitait pas le dialogue et la présence de quelqu’un, à défaut d’avoir un piano ou de la glace sur laquelle patiner. Ou d’être entourée d’une foule. Rien que l’idée d’avoir encore à braver la cacophonie de la Grande Salle sur l’heure du midi ou pour le dîner réussit à faire descendre en flèche les braises d’une possible indifférence. De l’occupation. Allez, de l’occupation…
« Peu convaincant », murmura-t-elle, teigneuse, alors que son œil dévalait le parchemin.
Le brouillon de sa dissertation était loin de la satisfaire et d’avoir le niveau qu’elle aurait voulu lui donner. Comme si tout était de sa faute, elle jeta un regard noir au seul livre ouvert devant elle, son seul manuel, qui contenait en général suffisamment d’informations quand le sujet ne lui plaisait pas – en l’occurrence, présentement, le sujet ne lui plaisait pas, ET le bouquin n’était pas suffisant. Il allait falloir passer un peu plus de temps dans les pages poussiéreuses d’un ouvrage pour rendre quelque chose qui ne soit pas trop mauvais, quand bien même elle n’aimerait pas le sujet… Avec l’énergie de sa mauvaise humeur toujours pas passée – elle était tenace, elle, quand elle s’y mettait – elle referma son manuel, rassembla ses affaires et les rangea dans son sac dont elle passa la bandoulière sur l’épaule. Un coup d’œil suffit à l’interdire totalement à l’égard des autres - déjà que d'ordinaire, c'était pas brillant... Vlan, v’là que la bibliothèque n’était pas encore ouverte. Pestant silencieusement contre son corbeau, innocent pour une fois, elle quitta la Salle Commune – marcher, seule, dans les couloirs, allait la détendre. Au moins un minimum.
Cassandre ne fut pas sensible au temps radieux qui inondait le parc, lorsqu’elle passa par les corridors ouverts du château. Pour autant, elle s’arrêta à l’ombre d’une colonne et observa l’immensité verdoyante, délimitée par la sombre Forêt Interdite et le scintillant lac calme. C’était peut-être une chance, les personne embêtantes préfèreront certainement la beauté de l’extérieur à l’intérieur sombre et clos de la bibliothèque, les y laissant tranquilles – il fallait qu’elle termine ce fichu devoir pour le lendemain. Avec vraiment un peu de chance, l’après-midi ne serait pas trop troublée, et peut-être même qu’elle finirait par récupérer son indifférence naturelle.
Un morceau de piano lui trottait dans la tête. Un morceau doux mais poignant, lent, mesuré… presque déprimant. Sans cesse, il tournait, tournait, alors qu’elle arpentait les couloirs, ne s’arrêtant pour personne ni même pour se rendre compte du chemin. Elle en était arrivée au quatrième étage – quel hasard, n’est-ce pas ? Se rendant compte de là où elle avait fini par atterrir, parce qu’elle s’était accoudée à une fenêtre, elle regarda l’heure – ce n’était toujours pas l’heure. Ben voyons. Ce ne serait pas drôle, sinon, pas vrai ? Mais pourquoi voulait-elle réellement aller à la bibliothèque ? Ah, oui, sa mauvaise humeur. La revoilà – elle l’avait momentanément oubliée. Il ne fallait vraiment pas grand-chose, non, vraiment. Cassandre Jézabel Slyfeld, tu es une jeune fille impossible. ‘fallait pas la lever le matin.
Eh, pourquoi la porte est-elle entrouverte ? L’heure l’aurait-elle trompée ? Comme si la porte en question allait lui donner la réponse, elle l’observa intensément, puis termina par bouger son esquisse de corps enveloppé de noir de la tête aux pieds. Sa main blanche se posa sur le battant – bah oui, c’était ouvert. Tiens, c’était étrange, quand même. Au moins, aucun doute permis, Karl était déjà arrivé.
Cassandre aimait bien le bibliothécaire. Au moins, lui, il avait besoin de distance avec les gens, n’était pas bruyant, et aimait partager des connaissances avec les autres. Ni trop sociable, ni trop encombrant, juste comme il fallait. Il n’était pas désagréable de parler avec lui. Oups, la porte a claqué. Tant pis, au point où elle en était, c’était fait… Elle s’avança – la bibliothèque était silencieuse. L’odeur des vieux livres l’assaillit – pas qu’elle ne l’aimât pas, mais ce n’était pas non plus son parfum préféré. C’était plutôt… quelque chose d’habituel.
Karl était effectivement là, seul, posé contre la fenêtre ouverte de la bibliothèque. Cassandre se figea.
« Bonjour », salua-t-elle poliment, d’une voix légèrement rocailleuse – elle s’éclaircit la gorge.
Elle regarda autour d’elle, puis la pendule. Ce n’était pas l’heure d’ouverture de la bibliothèque.
« Si je dérange… Je peux sortir et attendre l’heure normale d’ouverture. »
Et cultiver ma mauvaise humeur. Haha.
« Hum... Pourrais-je seulement emprunter un livre ? », rajouta-t-elle, au cas où elle devrait effectivement sortir.
Record battu, Slyfeld. Même avec tes amis tu n'enchaînes pas autant. | |
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