Phœnix Hogwarts
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 Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée]

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Lisbeth V. Ivy
:: Gryffondor::
Elève de 7ème année
:: Gryffondor:: Elève de 7ème année
Lisbeth V. Ivy


Humeur Humeur : Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] Marti___Emoticon_by_jkiner
Baguette Magique Baguette Magique : Bois de Saule pleureur, ventricule gauche de dragon
Statut Sorcier Statut Sorcier : Sang-Pur
Animal de Compagnie Animal de Compagnie : Lapin
Nourriture Favorite Nourriture Favorite : Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] Bananes2
Sexe Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] Phoenixienne

Feuille Phoenixiene
<FONT color=SeaGreen><B>Gallions</B></FONT> Gallions: 50
RP: 0
<FONT color=#AC56B0><B>Journal à Notes</B></FONT> Journal à Notes:
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MessageSujet: Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée]   Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] EmptyLun 20 Juil - 23:04

    « Elizabeth Ivy ? Lisbeth. Elle-même. »

    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Nom : Ivy.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Prénom : Elizabeth « Lisbeth » Victoria Belle.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Surnom : Lys’, Lizzie pour les très intimes.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Âge : 17 ans.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Date de Naissance : 29 Février.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Signe Astrologique : Poissons.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Année d'étude : Septième année.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Maison : Gryffondor.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Origine : Anglaises, cœur de Londres.

    « De manière générale, Lizzie est une véritable boule d’énergie. »

    Henry Ivy, 29 ans, écrivain, à propos de sa sœur cadette Elizabeth Ivy.

    « - S’il fallait définir Lizzie en un mot… Difficile. De toute la famille, Lizzie est la personne la plus énergique, respirant la joie de vivre et optimiste, à tel point que c’en devient souvent étourdissant. Elle ne sait pas rester en place plus de cinq minutes dans les moments où elle est au sommet de sa forme ; autrement, on s’accorde tous dans la famille pour dire d’elle qu’elle est une véritable bouffée d’air frais, pour nous tous comme pour ses amis, auxquels elle est très attachée. Malicieuse comme pas deux, Lizzie trouve toujours les mots justes lorsque quelque chose nous tracasse, ou va mal, elle fait le pitre et remonte le moral assez facilement, mais cette sollicitude, bien que touchante, est parfois encombrante et énervante, parce qu’elle n’aime pas voir à ses proches la mine sombre. C’est vrai que c’est attentionné de sa part, et que cela prouve une certaine grandeur d’âme, mais cette sollicitude est étouffante, surtout pour moi, qui suis d’un naturel solitaire et n’aime pas être approché dans mes moments difficiles, comme un « ours blessé et mal luné », ainsi que m’a définit Lizzie. Sa loyauté et sa générosité sont louables, mais trop souvent tue le poussin dans l’œuf.

    Lizzie est quelqu’un de dynamique, volontaire et de naturel. De mémoire, elle n’a jamais rechigné à goûter à de nouvelles expériences ni à donner un coup de main, et je sais d’expérience qu’elle est toujours partante pour des causes qui lui tiennent à cœur, elle s’implique jusqu’à oublier même ses études, rappelées sèchement à l’ordre par notre mère ! Ce qu’il y a d’admirable aussi, c’est qu’elle ne prend aucun air qui soit superficiel. Lizzie ne donne pas aux autres une image autre que la sienne, sa nature profonde et son caractère bien trempé, elle n’a aucun scrupule à se montrer telle qu’elle est et pourrait se définir par « je suis ce que je suis, les autres n’ont qu’à suivre ou décamper ». Parfois, elle peut être dite un peu encombrante à cause de sa manie à ne pas prendre des gants, mais nous l’aimons ainsi, enfin, moi je l’aime ainsi et je pense que, sans me tromper, mes frères et ma sœur en diraient autant. De toute façon, elle connaît ses limites. Et puis, Lisbeth est une véritable tombe quand il s’agit de protéger les intérêts et les secrets de ses amis.

    En revanche… Ah, ça, difficile de ne pas le louper ! Lizzie est une véritable catastrophe ambulante, vous savez. D’une maladresse hors du commun faisant d’elle un cancre dans l’art subtil des Potions – et ce n’est pas faute d’y mettre plein de bonne volonté – elle trouve toujours le moyen de transformer un acte anodin en une action engendrant un tas de conséquences qui n’étaient, à l’origine, absolument imprévisibles de par la nature même de l’acte. Elle est un cas de force majeure à elle toute seule. Il n’y a que sa curiosité qui peut rivaliser avec l’ampleur de sa maladresse, maladive et parfois très agaçante ; en plus de ça, elle est capricieuse, et peut se montrer très rapidement irritante, surtout à cause de son entêtement à toute épreuve – pour ça, elle a bien sa place chez les Gryffondors et puis, nous l’avions prédit. Une jeune fille telle que ma sœur ne pouvait pas aller autre part ! Elle est bornée ou butée, au choix, pour avoir essayé, je sais qu’il est difficile de la détourner, de la dissuader de quelque chose lorsque cela lui tient à cœur. Ajouté à cela, elle est peu réfléchie, elle agit souvent avant de discuter, même si, l’âge aidant, elle s’est calmée sur ce côté, elle demeure encore tête brûlée ; et, de source sûre, je peux dire, et même au nom de mes frères et ma sœur, que le point culminant de son caractère est sa fierté de lionne, parce que héritée de tout le monde ! C’est ce qui la rend particulièrement rancunière envers les gens qui se servent d’elle. Cependant, elle sait en plaisanter, compte tenu de sa maladresse légendaire.

    De manière générale, Lizzie est une véritable boule d’énergie et elle se caractérise par sa fraîcheur semblable à la brise de printemps, par son sourire toujours affiché sur ses lèvres, sa bonne humeur et son optimisme communicatifs – parce que oui, on y est tous sensible, dans la famille ! Cela dit, elle est farouche, elle ne se laisse pas amadouer si facilement, ce qui fait d’elle, côté sentiments, une jeune fille difficile à conquérir – bien heureusement ! – dans le cas où elle connaîtrait un maigre succès chez la gente masculine – elle n’a connu qu’une seule aventure qui lui importe vraiment, qui a duré un an, et cet ex est aujourd’hui son meilleur et inséparable ami, Matthew Jackson. Bon, aussi, bien qu’étant la plupart du temps rayonnante, Lizzie connaît aussi des chutes d’humeur plus ou moins fortes, et dans ces cas, se renferme comme une huître et n’adresse la parole à personne. A ce jour, il n’y a jamais eu que ma sœur, Catherine, et Matthew pour lui tenir compagnie et essayer de la sortir de sa torpeur. Ah, et aussi agaçante soit cette manie, lorsqu’elle est excitée, énervée ou stressée, Lizzie se ronge furieusement les ongles, parfois jusqu’au sang. Une mauvaise manie qu’on n’a pas encore réussi à lui faire passer, et ce n’est pas faute d’avoir essayé différentes méthodes. »

    « Elle adore manger, et garde la ligne sans effort ! C’en est frustrant ! »

    Catherine Ivy, 27 ans, infirmière à Sainte-Mangouste, à propos de sa sœur cadette, Elizabeth Ivy.

    « - Physiquement parlant ? Lisbeth n’a rien à envier aux autres filles de son âge, mais, il faut bien le dire, elle n’a rien d’exceptionnel non plus. Bon, c’est vrai qu’elle est grande, avec son mètre soixante-douze, et silhouette est souple, athlétique, entretenue et sculptée par la pratique combinée de l’équitation et de la natation. Elle adore manger, et garde la ligne sans effort ! C’en est frustrant ! Bon, c’est vrai aussi qu’elle la cultive, sa ligne, mais plus par coquetterie que par réel besoin. Après, elle possède ce qu’il faut là où il faut, mais on raconte volontiers que c’est une caractéristique familiale, je n’ai pas vraiment à m’en plaindre, des jambes galbées – j’en suis jalouse ! – et des épaules fines – sur l’omoplate droite, elle s’est fait tatoué une salamandre noire. Ce qu’il y a de mignon, chez elle, c’est son visage dessiné dans un rond que je dirais effacé, vous savez, un peu flou… Je ne sais pas comment le décrire avec fidélité, mais il n’est ni rond, ni ovale, alors on dit ça, un rond effacé – c’est Henry qui l’a trouvé. Il est auréolé d’une crinière souple de cheveux couleur d’écorce de sapin, toujours d’après Henry, qu’elle coupe toujours à la même longueur et porte toujours long. Ses traits sont malicieux et conservent quelques rondeurs de l’enfance au niveau des pommettes, des joues et du front, l’attendrissant et accentuant son air malicieux : ça, on le saura, qu’elle regorge de malice, la petite sœur ! Cela dit, ce que je préfère chez elle, outre sa capacité à ne jamais grossir quand bien même elle engloutirait des montagnes, ce sont ses grands yeux expressifs et rieurs qui empruntent leur couleur à la pomme tendre et brillante – on se demande encore qui est la muse d’Henry… Ah, et puis elle a, comme nous tous, cette espèce de tâche d’encre éclatée sur le poignet droit, en guise de tâche de naissance.

    Question vêtements, contrairement à la plupart de ses camarades, et surtout à moi, Lisbeth adore son uniforme scolaire, la jupe gris perle plissée, le chandail noir brodé de l’écusson de sa maison, la cravate rouge et or, la chemise blanche et la cape accompagnant le tout pour les journées froides. Toujours soigneusement plié et rangé dans son armoire tous les soirs, comme dirait William, l’ayant sûrement appris des ragots colportés par les camarades de chambre de Lisbeth alors qu’il sortait avec l’une d’entre elle. Excepté cela, Lisbeth n’est pas bien extravagante, ni même une fanatique de la mode, et pas du tout, mais vraiment, fashion victim, elle hait ça. Elle reste sobre. Pas frileuse, sa garde-robe ne recèle pas de trésors de pulls et autres polo chauds et douillets, juste quelques uns, cols roulés notamment, mais pas grand-chose. Elle apprécie les jeans évasés aux chevilles, qu’elle porte la majeure partie du temps où elle n’est pas obligée de revêtir l’uniforme scolaire, et chemisiers blancs ou noirs, autres débardeurs en tout genre. Lisbeth n’aime pas se casser la tête quant à sa tenue vestimentaire, parce que, j’en suis persuadée ! elle sait que ce qu’elle mettra aura un minimum d’allure sur elle. Mais son péché mignon, à Lizzie, c’est le kimono. Notre mère est issue d’une famille d’origine japonaise, et lui a transmis, plus qu’à nous, ce goût en parlant de la culture qui a imprégné sa famille pendant de longues générations, et lui a offert son premier kimono : si Lisbeth ne se vête ainsi que rarement dans les couloirs de Hogwarts, il n’en va pas de même chez nous, où chaque jour est un nouveau prétexte pour en arborer un, léger et pratique. Ah, elle est belle notre Lizzie ! »


Dernière édition par Lisbeth V. Ivy le Lun 20 Juil - 23:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée]   Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] EmptyLun 20 Juil - 23:10

    « Ca ne regarde que moi ! »

    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Phobie : Claustrophobe.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Patronus : Bélier.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Langues parlées : Anglais.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Animal préféré : Le cygne.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Animal légendaire préféré : La salamandre.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Couleur préférée : Rouge rubis.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Activité favorite : Danser le tango.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Lieu favori : Sa cuisine, lorsque sa mère prépare le dîner.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Loisirs : Violoncelle, cuisine, équitation, natation.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Animal de Compagnie : Un lapin bélier qu’elle a nommé Mandragore.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Instrument joué : Violoncelle.
    Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] 156974 Religion : Catholique (éducation oblige).

    « C’est quelque chose que je n’ai jamais compris : elle adore Hogwarts. »

    William et James Ivy, 22 ans, tenancier du Forest Café et artisan-bijoutier, à propos de leur sœur cadette Elizabeth Ivy.

    « - Quand Lizzie est entrée en première année, armée de sa baguette toute neuve de 20 centimètres, en bois de Saule pleureur et agrémentée d’un ventricule gauche de dragon, nous étions en cinquième et jusqu’à notre sortie du collège, nous l’avons suivie, et je peux vous dire qu’elle se fie davantage à son instinct qu’aux préjugés. C’est vrai qu’il s’est plusieurs fois trompé, mais jamais de graves erreurs, et c’est vrai aussi qu’elle a développé une certaine tendance à se méfier des Serpentard, peut-être à cause de leur réputation de manipulateurs, ce qu’elle ne supporte pas. C’est toujours délicat, parce qu’en général, les gens agissant plus par intérêt, pour leur intérêt, que par autre chose et égocentrique, elle les fuit. Elle ne les aime pas du tout – cela dit, je la soupçonne quand même un peu de fondre pour le charme mystérieux de quelques Serpentard bien tournés. »

    « - Lizzie est naturellement attirée par les artistes, allez savoir pourquoi, mais aussi par ceux qui rayonnent par leur joie de vivre, ou tout autre personne qui serait plus ou moins comme elle, souriant, agréable, un peu comme Matthew. Ils se sont bien trouvés ces deux là. Elle pourrait écouter parler des heures des bohèmes, des artistes parlant de leurs arts, de leurs aspirations, anecdotes en tout genre, les écouter vagabonder dans leur monde sans dire un mot. Fascinée, quoi. Sacrément ouverte d’esprit, Lizzie va indifféremment vers les gens, sauf que vraiment, les Serpentard, c’est pas vraiment ça, et pourtant, paraîtrait qu’elle s’est fait un ami… »

    « - Surtout qu’ils réussissent quand même pas mal en Potions, alors il vaut mieux pour elle qu’elle fasse la paire avec quelqu’un qui sache user de ses dix doigts sans provoquer de catastrophes ! Parce que c’est vraiment pas son truc, ça, les Potions. C’est bizarre, quand même, parce qu’en terme de cuisine, elle est quand même douée, mais alors quand il s’agit d’en faire dans les cachots… C’est autre chose. Elle n’aime pas du tout. En revanche, tout le reste… C’est quelque chose que je n’ai jamais compris : elle adore Hogwarts. Que ce soit le château, son parc ou le système scolaire, elle aime ! Elle aime apprendre, ça c’est clair ! Elle a une sacrée soif, même pour les matières les plus ennuyeuses, comme l’Histoire de la Magie. Ce n’est pas qu’elle est excellente, mais je crois qu’elle a hérité du goût de notre mère pour l’histoire pour autant s’y intéresser. Là où elle excelle, c’est incontestablement la Métamorphose. »

    « - Par contre, on ne peut pas dire qu’elle soit intéressée par la Divination et pas douée pour la Défense contre les Forces du Mal. Bon, c’est un peu paradoxal avec le fait qu’elle soit douée en Métamorphose, mais je crois que Lizzie est un amalgame de paradoxe. Avec sa maladresse légendaire, elle peut encore nous surprendre ! »


Dernière édition par Lisbeth V. Ivy le Lun 20 Juil - 23:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée]   Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] EmptyLun 20 Juil - 23:15

    « Une famille qui crie est une famille unie, Gérard Godin. »

    « - Ma famille est ce qu’on appelle couramment une famille recomposée. D’un côté, un père biologique dont je n’ai plus aucune nouvelle, plus par choix que par contrainte, et de l’autre, un beau-père que j’apprécie et admire beaucoup, mais je crois m’être résignée à l’idée que je n’aurais jamais vraiment de père. Je n’ai connu mon père biologique que dans ce qu’on pourrait appeler mes tendres années, et la seule chose qu’il me reste de lui est une image étrange, celle d’un père qui, le jour, est aimant, attentif et souriant, se transformant en une créature assoiffée de sang la nuit. Pas toutes les nuits, mais certaines ; apprendre que mon père était alcoolique et avait l’alcool violent, j’en ai encore la scène revêtant une clarté indécente dans l’esprit. Je n’avais que sept ans quand le divorce a été prononcé aux torts de mon père. Il s’appelait Anthony Ivy, était un sorcier plutôt doué ayant appartenu à la maison de Gryffondor, mais tombé en dépression après la mort de son meilleur ami, accidentelle.

    Ma mère, Edwige Ivy, a beaucoup souffert de cette période de sa vie. Même connaissant les risques, elle attendait toujours mon père, rentrant de plus en plus tard le soir, mais je n’en savais rien, je dormais déjà, protégée par mes frères William et James, avec qui je partageais ma chambre. Je n’entendais pas les coups sourds pleuvoir, un médicomage appelé d’urgence par mon frère aîné Henry arrivé en hâte soigner les éventuelles blessures laissées par Andrew qui avait fini par plonger dans le sommeil lourd et gras de l’ivrogne en traînant sa lourde carcasse à l’étage. Maman espérait toujours qu’il se remette de cette tragédie, qui le faisait tant souffrir, et si ma tante, Belle, n’était pas intervenue… J’aime ma mère. Elle est douce, belle et intelligente, elle incarne pour moi le modèle parfait de la féminité et de l’excellence. Quand elle avait mon âge, elle était élève dans la maison de Serdaigle, et possède un réel talent culinaire. Jamais je n’ai mangé meilleur plat que celui préparé pour Noël par ma mère ! J’aime être dans la cuisine quand elle ne laisse pas les elfes de maison s’en occuper, c’est son passe-temps favori, et la regarder, humer les odeurs et, accessoirement, lécher les plats, est le mien. Maman a toujours été là pour chacun de nous, et je pense qu’elle a bien réussi sa vie, autant professionnellement – Maître Potions au service de la médecine – que socialement – elle a toujours eu de bons amis, un entourage idéal. Mon père biologique n’était que le malheur qui devait contrebalancer le bonheur de sa vie.

    Bonheur que Garry est venu réparer deux années après le divorce de Maman. Il l’a beaucoup aidée à se reconstruire, après tout ça, parce que Maman aimait Andrew, beaucoup, et qu’il a été très présent. Je trouve que c’est quelqu’un qui est remarquable, parce qu’autant qu’il l’aidait, il s’occupait de nous, et, tout simplement, lorsqu’il s’est installé avec elle, il nous a accepté avec elle, nous, les cinq enfants de la femme qu’il aimait. Ils ne sont pas mariés, mais c’est tout comme. J’aime beaucoup Garry, il m’a presque élevée – enfin, autant que l’on puisse élever un enfant à partir de ses sept ans. Il m’emmenait avec lui quand il allait monter à cheval, c’est lui qui m’a mise sur mon premier poney. J’ai continué, après ça. Garry a toujours été prévenant avec moi, et patient aussi, parce que je me souviens ne pas avoir été facile au début. Au tout début, s’entends. Maintenant, c’est différent, je l’apprécie beaucoup. Il est éleveur en tout genre, c’est sans doute de là que lui vient sa patience, il est tellement passionné par les Créatures Magiques ! Il a fait naître mon actuel hibou, pars quelques fois en expédition pour sauver une race, en étudier une autre, confiant l’élevage à son assistant. Il est aussi farceur, gentil farceur, un ancien Gryffondor bien dans sa peau.

    Pendant leur mariage, mes parents ont eu cinq enfants, dont moi. Mon frère aîné s’appelle Henry, il a été réparti à Serdaigle à son entrée à Hogwarts et on a douze ans de différence. C’est un gentil garçon, un peu timide mais brillant par son intelligence – pour plaisanter, dans la famille, on raconte qu’il a piqué toute l’intelligence de ma mère pour ne nous laisser que le strict nécessaire, et encore. C’est quelqu’un de très cultivé, vraiment, mais il ne parle pas beaucoup, pas facilement, l’oral n’a jamais été son fort. Il vagabonde souvent dans un monde à part, un peu dans la lune, et il a un de ces talents d’écriture ! Ses romans ont tous connus un franc succès. Il est d’une timidité maladive aussi, avec les filles, c’est une catastrophe. Mais il est adorable, mignon comme tout, et peut se montrer quand même sacrément féroce quand on s’en prend à sa famille.

    Après est arrivée Catherine, ma sœur aînée, fantasque, peut-être bizarre, mais exubérante, la nuit d’Henry si l’on considère qu’il est le jour. Pour elle, l’oral, ce n’est rien de plus qu’une conversation, elle a une facilité déconcertante à en mener un. Elle a été à Gryffondor, comme moi et les jumeaux, et a réalisé son rêve depuis qu’elle a douze ans, elle est devenue infirmière. Et, croyez-moi ou non, elle s’est mariée à son médecin titulaire… Un vrai roman à l’eau de rose comme les déteste Henry. Elle attend actuellement son deuxième enfant de lui, mais malheureusement, leur couple bat un peu de l’aile… Surtout depuis qu’il est revenu en lui avouant avoir couché avec une infirmière pendant un service de nuit. Je vous jure, vraiment un roman à l’eau de rose ! C’est presque irréel, tellement c’est cliché. Il faut dire aussi que Catherine n’est pas non plus la femme la plus facile à vivre. Elle est quand même autoritaire, et un peu jalouse. Malgré tout ça, ma sœur et moi nous entendons comme larrons en foire, on sort souvent en ville, sur le Chemin de Traverse, je l’accompagne faire les boutiques, l’écoute râler parce qu’elle doit faire super attention alors que je n’en ai pas forcément besoin, et après on dévore une glace en rigolant. Oui, c’est un truc que j’adore faire, avec elle. Elle est tellement drôle !

    Enfin, il y a les jumeaux, William et James. Oui, vous avez tout compris, on a tous des prénoms de Rois et Reines d’Angleterre ! Ma mère est très calée en histoire. Pour en revenir à mes frères, ils n’étaient pas très intéressés par les études. Ils les ont quand même suivies, ils étaient quand même conscients que c’était important, mais se maintenaient à la moyenne, à Gryffondor. Il faut savoir aussi que ce sont des faux jumeaux, impossible de se tromper quand on cherche à parler à William ou James. Ils ont des centres d’intérêt différents, mais ont un point commun : ils sont tous les deux de gros paresseux. L’un est cependant plus sociable que l’autre, ça se ressent d’ailleurs sur leurs actuels métiers. Ils sont cependant très souriants et aussi très affectueux ; ils sont tout le temps dans mes pattes, plus William que James d’ailleurs. Il faut dire que lui aussi est spécial.

    Dans ma famille, nous sommes tous très liés, mais nos relations diffèrent toutes, et souvent ça décolle sec. Mais voilà : une famille qui crie est une famille unie, comme dirait Gérard Godin – dixit Henry. »


Dernière édition par Lisbeth V. Ivy le Lun 20 Juil - 23:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée]   Elizabeth Ivy... Lisbeth ! [Terminée] EmptyLun 20 Juil - 23:15

    « Je me suis pris un livre sur la tête alors que j’essayais de l’attraper sur une étagère trop haute pour moi. »

    « - Raconter ma vie ? Euh… depuis le 29 Février ? Eh, ça va faire long, tout de même… Vraiment ? Bon, d’accord, si vous insistez… Eh bien, je suis née, Maman n’a jamais cessé de le dire, le seul jour de l’année qui n’apparaît que tous les quatre ans, c’est la première chose que j’ai apprise quand je fus en mesure d’apprendre des choses. Que j’étais née un jour qu’on ne vit que tous les quatre ans… Ben voyons ! Je commençais bien, déjà. Elle me racontait ce qui s’était passé ce jour-là, comment elle avait paniqué, parce que je me manifestais avec deux semaines d’avance. Mon père travaillait, et la seule compagnie qu’elle avait, c’était les jumeaux et Catherine, puisqu’elle n’entrait à Hogwarts que l’année suivante et qu’elle était en vacances cette semaine-là. Alors, avec deux enfants de cinq ans, une de dix ans et pas de nourrice à portée de main, elle ne savait plus quoi faire. Elle a mis un certain temps à appeler un médecin, à se rappeler que c’était possible ! Et elle a accouché à la maison, sur le canapé, il était trop tard pour l’emmener à Sainte-Mangouste. Quand mon père est revenu, ce soir-là, Maman n’était plus là, transportée à Sainte-Mangouste pour s’y reposer, et moi pour commencer doucement à vivre… Deux semaines plus tard, le meilleur ami de mon père décédait, et il est tombé en dépression, se plongeant dans l’alcool.

    Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ma petite enfance, mais beaucoup de photos ont été prises pendant ces années. C’est drôle ! Me voir si jeune, ça fait quelque chose. Maman n’arrête pas de dire que j’étais adorable, Catherine surenchérit en me disant que j’étais absolument craquante. En tant que bébé, et enfant, ce n’était pas faux, au fond. A quatre ans, Maman m’a inscrite dans un cours de musique, et j’ai commencé le violoncelle à ce moment-là, le solfège a suivi après que j’ai été en mesure de lire. J’ai toujours adoré cet instrument, sentir les vibrations de la caisse de résonance sur mes cuisses quand je jouais. Je n’avais pas encore conscience que mon père battait ma mère, au début de manière diffuse, et puis de plus en plus fréquemment. Je n’entendais rien, on me cachait tout : Maman s’efforçait toujours de tout me cacher. Moi, j’étais heureuse, de mon côté. Henry et Catherine s’occupaient souvent de moi, Henry m’a appris à lire, à écrire, Maman à compter, me lisait mes histoires le soir pour m’endormir ; c’est encore elle qui m’apprenait le monde la magie, m’expliquait quand quelque chose arrivait, qui ne pouvait pas s’expliquer. Ma première démonstration de magie, c’est ridicule ! Mais ridicule dans le sens d’amusant, je me suis pris un livre sur la tête alors que j’essayais de l’attraper sur une étagère trop haute pour moi. Catherine était avec moi ce jour-là, elle en a bien rigolé et s’en souvient encore ! Je suis issue d’une famille de sorciers, je baigne dedans depuis le début, et ils n’arrêtent pas de me dire que je posais sans cesse des questions sur comment ça se faisait, pourquoi c’était comme ça… Une petite chieuse, qu’ils disaient !

    Je n’ai pas trop souffert de l’alcoolisme de mon père biologique. Henry et Catherine s’efforçaient eux aussi à m’éloigner le plus possible, mais ils n’ont pas su éviter une fois, où il m’a enfermé dans un placard parce que j’avais brisé un vase par mégarde – je n’avais que cinq ans. C’est Henry qui m’a sortie, je n’ai eu de cesse de hurler. J’étouffais, je suffoquais ; c’est le seul souvenir clair que j’ai conservé de mon enfance, comme si ça m’était arrivé hier. Pour dire vrai, je suis claustrophobe, et c’est ainsi qu’on l’a découvert. J’étais si choquée qu’ils m’ont emmenée à l’hôpital – je n’arrivais plus à respirer et m’accrochais à mon frère comme à une bouée de sauvetage. On raconte que je suis restée muette une semaine. Ca, je n’en sais rien. Si Henry, Catherine et Maman n’avaient pas été là… Hum.

    Et puis un jour, mon père est parti, pour ne plus jamais revenir. On ne m’avait pas expliqué, mais en même temps, il n’a jamais été là, je ne connaissais pas mon père. Je ne comprenais pas, mais je n’éprouvais pas pour autant du chagrin… Mon père est parti. C’est tout. Maman était effondrée. Je ne comprenais pas ! Henry essayait de m’expliquer, que mon père devait partir, que c’était mieux comme ça, parce qu’il rendait malheureuse Maman. Je me souviens que je me demandais alors pourquoi pleurait-elle, si c’était mieux ? Je n’aimais pas voir ma mère dans de tels états, alors je m’approchais toujours, je lui prenais gentiment la main et lui souriait. Je pensais que ça allait l’aider. C’est ce qu’elle m’a affirmé en tout cas. Je n’aime pas voir les gens que j’aime malheureux ! Je me nichais dans ses bras quand elle n’allait pas bien, et me serrait fort contre elle, comme pour lui passer du courage, je crois.

    Elle a repris doucement goût à la vie. Les jumeaux étaient à Hogwarts, Catherine en stage et Henry écrivait son premier livre, incapable qu’il était de décrocher un emploi à cause de l’entretien d’embauche qu’il n’arrivait jamais à passer. On ne savait pas encore qu’elle avait rencontré Garry. J’avais neuf ans, et j’étais contente de la voir sourire à nouveau ! De mon côté, je continuais le violoncelle, et je nageais. J’allais à la piscine tous les mercredis, après les cours, et je nageais – j’adorais nager. Maman a rencontré Garry en allant acheter un nouveau hibou pour William, le sien était mort accidentellement. Pas le coup de foudre, mais… presque. Tout doucement, et puis j’ai rencontré Garry. Je ne me souviens pas l’avoir apprécié au premier regard, ni même l’avoir détesté. J’étais méfiante, surtout, comme si je n’avais plus confiance en les hommes. J’avais finalement bien compris ce qu’avait fait mon père biologique à Maman, alors je ne voulais pas que ça recommence. Il a été d’une patience d’ange avec moi, m’a apprivoisé… Il m’a emmené au centre équestre – il montait très fréquemment. Il m’a mise sur mon premier poney, et j’ai continué. Il a parfois chassé les monstres de la nuit – oui, j’ai encore continué à croire aux monstres, mais dans un monde où on en parle, qui existent, comment voulez-vous que je n’y crois pas ! Il s’est installé et nous a « adopté » pendant l’année de mes dix ans.

    Maman faisait la cuisine, exceptionnellement, dans la cuisine quand le hibou de Hogwarts est venu me donner ma lettre. Sur le bout de mes doigts goutait encore le chocolat fondu que je léchais quand il s’est posé juste en face de moi, et que je l’ai regardé avec les yeux ronds, les doigts dans la bouche. Maman avait alors rigolé, m’avait ébouriffé les cheveux et avait pris la lettre pour ma la donner. « Ouvre-la », m’avait-elle dit, et je m’étais exécutée, laissant des tâches transparentes sur le parchemin jauni. Je me souviens encore avoir explosé de joie ! Je me suis précipitée vers mon frère, ma sœur, les jumeaux… Mais maladroite comme je suis, j’ai trébuché trois fois en chemin, m’étalant joyeusement sur le sol, y restant, hilare que j’étais, ai renversé le verre d’eau d’Henry, manquant de peu son manuscrit étalé sur son bureau. Ils ont tous souri – c’était agréable. Moi, j’avais l’impression d’être enfin grande. J’allais aller à l’école, comme eux. Comme eux, j’allais apprendre et pratiquer la magie ; je voulais que mes frères, ma sœur et ma mère soient fiers de moi. Moi qui avais regardé mes frères et ma sœur aîné avec tant d’admiration… J’allais aussi pouvoir faire ce qu’ils ont fait, marcher dans leurs pas.

    J’ai été répartie à Gryffondor, mais ce n’est pas quelque chose qui a étonné ma famille. Ils savaient que j’allais m’y retrouver ; William et James, en cinquième année, m’avaient accueillie à bras ouverts. Quand j’étais petite, Catherine m’a rapidement habituée au prénom de Lisbeth, elle trouvait qu’Elizabeth pour une petite fille, ce n’était pas super. J’ai rapidement obtenu qu’on m’appelle ainsi ! Personne ne m’appelle Elizabeth, Lisbeth ou Lys’ ; seuls mes frères, ma sœur et mon meilleur ami m’appelle Lizzie. La maison de Gryffondor était aussi agréable que ce qu’ils m’en avaient raconté. Durant toute mon enfance, mes frères et ma sœur n’avaient eu de cesse à me raconter leurs expériences à l’école, la maison de Serdaigle d’Henry et celle de Gryffondor pour Catherine et les jumeaux. Sur ce point, ils avaient tous la même opinion : la maison de Gryffondor était agréable, dynamique, sympathique. Je me souviens m’être fait pleins d’amis en entrant dans la maison de Gryffondor, et j’y ai aussi rencontré Matthew Jackson.

    Matthew mérite bien que je parle un peu de lui, il fait partie de mon histoire autant que ma famille. On se ressemble beaucoup, lui et moi. Aussi dynamique et énergique l’un que l’autre. L’innocence et l’inconscience des sentiments nous a rapproché dans nos trois premières années, nous sommes très vite devenus inséparables. Un vrai couple de jumeaux ! Toujours fourrés ensemble, toujours assis l’un à côté de l’autre, toujours travaillant ensemble, déjeunant ensemble… Peut-être que nous ne nous disions rien sur nos familles, c’est vrai que nous n’étions que de bons amis, de meilleurs amis, mais nous ne nous étions rien confié l’un à l’autre – quel intérêt ? A onze ans, on ne pense pas encore à partager ses malheurs avec un inconnu. On aimait la compagnie l’un de l’autre. L’innocence a fini par nous quitter, toujours, et c’était en fin de troisième année, début quatrième année, je crois, que j’ai « intéressé » l’autre sexe. J’avais pas mal d’amis garçons, je ne fais pas la différence, et je me suis rendue compte que l’un d’entre eux s’intéressait un peu trop à moi… Matthew a explosé, je ne l’avais jamais vu comme ça. Sur le coup, j’ai eu peur, je ne comprenais pas, et puis… Et puis, il m’a carrément couru après. C’était assez difficile au début, je pensais que je n’étais qu’une conquête de plus sur son tableau de chasse, à treize – quatorze ans, on comprend ce genre de choses, et je n’aimais pas cette idée. Matthew était un ami, mon meilleur ami ! Mais il insistait et… et j’ai cédé. Parce qu’au fond, il ne m’était pas indifférent… Et ma liaison avec Matthew est la seule qui compte vraiment.

    Nous nous sommes quittés en bons termes un an plus tard, parce que ce n’était plus comme au début. Je m’intéressais à d’autres garçons, et lui à d’autres filles. Pendant cette année, on s’était découvert, et on en savait tellement l’un sur l’autre… ce qui est extraordinaire, c’était le fait que nous sommes restés meilleurs amis, encore plus collés l’un à l’autre. Si Matthew ne me confie pas tout, laissant certaines choses aux bons soins de son meilleur ami Lysander, on se parlait cependant très souvent, et nous demeurons toujours inséparables. Beaucoup ont du mal à se rendre compte qu’on n’est plus ensemble… et ça créé des problèmes dans nos couples, parce que Matthew continue de me draguer, par jeu, même si ça m’agace un peu.

    J’adore Hogwarts, c’est comme une seconde maison pour moi. Maintenant, je suis en dernière année au château, et ça me fait quelque chose. J’aime tellement cet endroit… peut-être devrais-je y enseigner ? J’entends déjà les remarques de Catherine, comme quoi j’aurais tôt fait de faire exploser le château ! Ce n’est peut-être pas faux, après tout. Je compte bien profiter de ma dernière année, avec mes amis, et qui sait ce qui va se passer ! »


Dernière édition par Lisbeth V. Ivy le Lun 20 Juil - 23:19, édité 1 fois
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    « Et l’Autre, dans tout ça ? »


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