Phœnix Hogwarts
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 L'air de la campagne

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2 participants
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Apollinaire J. Gasher
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Elève de 5ème Année
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Apollinaire J. Gasher


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MessageSujet: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyDim 2 Aoû - 15:41

Apollinaire regarda le décor qui l’entourait. Il aimait beaucoup le petit village sorcier, pour sa tranquillité, et son air pur. Les quelques bouts de verdure qu’il y avait offraient un peu d’esprit campagnard, et la cabane hurlante dominait toute la bourgade de ses murs sombres et de ses fenêtres fracassées. Apollinaire avançait dans les ruelles de Pré au lard, les mains dans les poches, trainant le pied à la recherche d’une activité ou d’un éventuel ami. Apo n’avait pas vu son meilleur ami, Kevin depuis quelques jours, et il fallait l’avouer, il lui manquait quelque peu. Il y avait aussi Alena, Edward, James... Tant de personnes qu’il n’avait plus revues depuis un petit moment. En même temps, Apollinaire avait bien cherché sa solitude. Car depuis sa brève mais néanmoins retournant rencontre avec Ambre au détour d’un couloir, il s’était renfermé sur lui-même, allant jusqu’à se morfondre sur son sort plusieurs fois par jour. Il ne comprenait toujours pas ce qu’il s’était passé ce jour là devant la bibliothèque, et encore moins comment leur si belle histoire s’était terminée. Mais ça, Apollinaire ne l’avouerait pour rien au monde. Aux yeux de la plus part de personnes, cette histoire était finie, digérée, classée… Apollinaire avait eu d’autres aventures, même si elles n’avaient duré qu’un soir, et s’était surement le même cas pour Ambre. Mais ça, il ne voulait pas le savoir, aussi non Apollinaire se précipiterait pour arracher les deux yeux de celui qui avait osé posé ses mains sur la belle Gryffondor.

C’est pourquoi aujourd’hui, il fallait qu’il sorte, qu’il fasse de nouvelles rencontres, ou qu’il s’amuse avec des amis. Il opta pour une petite sieste dans l’herbe moelleuse dans un coin calme du village. Il s’allongea, étendit ses jambes après avoir retiré ses tongs turquoises, mit ses mains sous sa tête et ferma les yeux en appréciant la douceur de l’herbe sur sa peau.

Spoiler:


Il faisait chaud, mais la petite brise rafraichissait le visage du jeune serdaigle. Peut être s’endormi-t-il quelques instants, ou peut être pas ! Lorsqu’il rouvrit les yeux, il n’y avait toujours personne. Au loin, il entendait des bribes de conversation, des rires, des éclats de voix… Surement des jeunes élèves qui découvraient la joie de Pré au lard. Ils n’avaient pas encore de soucis, ni de responsabilité. Qu’est ce que c’est bien d’être encore innocent !

Apollinaire se releva sur ses avant bras, pour avoir une plus grande vision devant lui. Au loin, à contre jour, une silhouette approchait dans sa direction. Ah… Enfin âme qui vive…
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Juliette Volepiaire
:: Serdaigle ::
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Juliette Volepiaire


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Baguette Magique Baguette Magique : 22 cm, Bois d'ébène et poil de nez de lutin.
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Nourriture Favorite Nourriture Favorite : L'air de la campagne Croissant
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MessageSujet: Re: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyMar 4 Aoû - 13:01



    • L'air de la campagne Adulte13


    Lorsque Juliette avait repéré Apollinaire il était déjà en train de se tirer dans les ruelles de Pré-au-lard. Si la gamine avait un peu mieux connu la ville elle l'aurait sans problème laissé filer pour prendre le temps de s'habituer à ce corps, si ... Féminin.
    Mais là elle devait le garder à l'oeil, elle ne devait pourtant pas lui courir après, ça n'aurait absolument pas été naturel. C'est pourquoi elle le suivit à bonne distance, tout en observant cette nouvelle morphologie, ce qui donnait à la jeune femme -vu de l'extérieur- une attitude étrange.

    La drôle d'impression que lui procurait ce nouveau corps était encore très vivace, lorsque Apollinaire s'allongea dans l'herbe. Juliette resta à bonne distance, haussant un sourcil, surprise par cette attitude. D'une part elle aurait espéré qu'il fasse quelque chose de plus intéressant que de mater les nuages, et en plus elle, elle avait encore quelques courses à faire pour sa bienfaitrice. Trois livres, elle devait lui payer trois livres, Juliette n'était pas très fan d la lecture, mais elle savait que ça coûtait bonbon. Ca risquait de faire cher le polynectar, mais après tout cette fille lui refilait son identité pour l'après-midi ça avait forcément un prix, et encore Juliette s'en sortait bien.

    Bref, il était temps d'aborder le petit Apollinaire. Le garçon paraissait bien mélancolique. Tout à coup il vint une idée à JUliette, ne serait-ce pas extrêmement amusant de rendre Apollinaire amoureux de Melinda ? C'était tordant rien que d'imaginer le quiproquo que cela allait provoquer. Bon c'est vrai qu'Apollinaire c'était un chouette type, mais à bien y regarder il avait l'air tellement déprimé la tout seul dans son carré d'herbe, que Juliette avait bien envie de lui remonter le moral.
    IL ne s'agissait cependant pas de faire des trucs de grands,

    *BEUARK !*

    D'un pas aérien elle s'approcha du jeune homme. IL connaissait Melinda, plus de vue qu'autre chose d'après Juliette puisqu'ils n'étaient même pas de la même année, Melinda était plus âgée d'un an; arf; mauvais calcul?

    Elle fourra sa main dans son sac histoire d'être bien sur que Charlyn se tienne tranquille (Apollinaire connaissait Cha', ce n'était pas n'importe quelle grenouille.). Il se redressa un peu, il avait vu Melinda approcher, tout d'un coup Juliette sentit son coeur battre, elle entamait l'un des plus grand rôle de sa vie. Certes elle avait l'atout du physique, mais si elle gaffait tro Apollinaire allait finir par comprendre. C'était une de ses qualité, il n'était vraiment pas stupide.
    Pendant leur collaboration, Juliette avait bien observé Melinda. C'était une fille intelligente, mais qui minaudait pas mal. Pour une sixième année elle était très timide avec les garçons, pour cause, elle n'en avait jamais beaucoup fréquenté. Donc le simple fait qu'elle aille voir Apollinaire de son propre chef pouvait témoigner d'un certain béguin. Cela rendait la tâche plus facile, mais aussi plus dangereuse car il ne fallait pas non plus que le garçon prenne peur.

    Bref, le temps des réflexion s'arrêta, action.
    Juliette-Melinda se trouvait maintenant très proche d'Apollinaire, avec un petit sourire gêné elle passa une mèche de cheveux derrière son oreille,

    "Salut."

    Juliette faillit sursauter en entendant une telle voix sortir de sa bouche. La voix de Melinda était douce et fluette, lorsque la sienne était déjà très assurée et autoritaire. Drôle de changement, mais la gamine se repris vite, il fallait enchaîner,

    "TU me reconnais? On est dans la même maison. Je m'appelle Melinda, toi c'est ... Heum Apollinaire, je me trompe ?"

    Autre sourire de sainte n'y touche. A sa grande surprise JUliette réussis même à rougir un peu. Franchement, Juliette ne se connaissait pas de si grands talents d'actrice. Même entrer dans la peau d'un telle niaiseuse lui était facile. Divertissant.
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Apollinaire J. Gasher
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Apollinaire J. Gasher


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MessageSujet: Re: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyMer 5 Aoû - 18:10

A contre jour, le cœur battant la chamade contre sa poitrine montant et descendant au rythme de son souffle, il cru voir, l’espace d’une seconde la fille qui occupait son le centre de son attention. La démarche souple, de taille moyenne, les cheveux volant au vent… Mais non, se n’était pas elle… D’ailleurs pourquoi viendrait-elle le voir ? Non, ce fut une voix douce, trahissant une timidité maladive. Apollinaire haussa les sourcils. Qui était-elle ? Pourquoi venait-elle le voir ?

Peut-être voulait-elle simplement elle aussi rester sur un petit coin d’herbe. Mais ce n’était pas comme si Pré au Lard ne regorgeait pas d’endroits calmes et reposants !

Puis la jeune fille s’intercala entre le soleil et les yeux bruns du Serdaigle et il put enfin avoir accès au visage de la nouvelle venue. Elle était mignonne, il fallait l’avouer. De grands yeux noisettes, aux reflets verts, un petit nez fin et des lèvres qui donnent envi d’embrasser. Le regard d’Apollinaire tomba ensuite sur le décolleté de la jeune fille, et il fut bien obligé d’admettre qu’il était le chanceux du jour.

Mais n’allez pas croire, qu’il pensait déjà à séduire la jeune fille. Non, bien loin de lui cette idée, seulement Apollinaire, aime bien les belles filles, celles avec des formes bien placées, et … il aime tout simplement les regarder et … plus si affinité !

Melinda ? ça sonnait aux oreilles du jeune garçon comme un doux dessert de soirée d’été ! Comment vous dites ? Ah oui, Ce sont les pêches Melba ! Ce n’est pas très différent.

Toujours était-il qu’Apollinaire la connaissait de vue pour l’avoir croisé quelques fois dans la salle commune, mais pas bien plus. Aussi non, faites lui confiance, il aurait fait plus ample connaissance… Veinard ! Aujourd’hui elle venait à lui.

Apollinaire se remit sur pied plus vite qu’il n’en faut pour l’écrire. Gallant le jeune homme !

« - Euuuh oui oui, je suis Apollinaire Gasher. »

Troublé ? Oui peut être un peu… En même temps, quoi de plus troublant qu’une merveilleuse jeune fille qui vient à votre rencontre. De quoi faire bouillir un mâle.

« - Je t’ai déjà vu dans la salle commune. En même temps comment ne pas te remarquer hein ! Euh, Hum, tu … veux t’assoir avec moi ? »

Ne dit-on jamais que la première impression est celle qui ne trompe pas ? Et Apollinaire n’était il pas en train de se ridiculiser ?

Perfectionniste, et surtout n’aimant pas montrer ses faiblesses, pour lui son bégaiement était une injure et surtout une émasculation. Tout dans l’extrême notre Apollinaire !

Grande respiration, mains moites essuyées discrètement à l’arrière de son pantalon, contraction des abdos… Ok, on se reprend !

« - A moins que tu n'ais des achats à faire ? C’est le truc des filles ça en général… »

Apollinaire the come back !

Il se rassit dans l’herbe, poussa ses tongs au cas où Melinda veuille prendre place, croisa les jambes.

« - Elle est très moelleuse cette pelouse. Je dirais qu’il y a 26% de Trèfles, 34% de marguerites, 17% de pissenlits, et 27% d’herbe. Très bonne qualité ! L’herbe n’est même pas humide, en même temps tu vas me dire vu la chaleur des derniers jours… »

Propos certes inintéressants, mais qui normalement faisaient rire les gourdes comme Melinda. Apollinaire avait l’habitude de ce genre. Seulement, ce qu’il ne savait pas, c’était qu’une fille loin d’être une gourde avait prit possession de ce corps…
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Juliette Volepiaire
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MessageSujet: Re: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyLun 10 Aoû - 20:40

    Juliette en faisait elle trop? Elle ne se posait pas encore la question (mais ça allait venir), ce nouveau cours par sa seule présence faisait un effet tout à fait nouveau chez les garçons. Apollinaire semblait même se sentir intimidé par elle, il ne l'avait jamais été par Juliette! Pourtant il semblait à la gamine qu'elle en imposait un peu plus que cette godiche de 6eme année!
    Ce qui faisait vraiment la différence c'était cette poitrine, ces hanches, ces cheveux, ces lèvres, la délicatesse de ses gestes, la douceur de sa voix. C'était des trucs que Juliette n'aurait pas d'ici quelques années et le fait de trouver à sa disposition soudainement de telles armes était simplement jouissif et elle ne pouvait s'empêcher de minauder un maximum.

    Visiblement cela troublait Mr Gasher suffisamment pour qu'il ne note pas directement l'attitude un peu exagéré de sa collègue. Le garçon devenait bavard, c'est qu'il lui fallait combler le vide, c'est qu'il avait peur de se trouver confronter au seul regard de Juliette, enfin ... Melinda. Ca, la petite Serdaigle l'avait vite compris, ce qui restait mystérieux c'était la raison de ce gène. Depuis quand les yeux de quelqu'un étaient ils la source d'une telle angoisse?
    La gamine écarta vite le sujet de sa mémoire; le voila qui commençait à devenir con! Ca se n'était pas souhaité, elle se retint de froncer les sourcils, mais se fut vraiment pour ne pas le mettre encore plus mal alaise. Donc une belle gueule et un corps aux divines proportions avaient AUSSI la capacité de rendre stupide la personne qui était en face de vous.

    "Ahah ... merci."

    Elle rigola niaisement, n'oubliant pas son rôle, mais non de dieux le voir ainsi transformé lui filait la chaire de poule. Il avait vraiment l'air à côté de ses pompes.
    Heureusement cela semblait le préoccuper lui aussi. Il n'en fallut pas plus pour qu'il se remette d'aplomb. * OuF!* Encore une remarque du genre et il perdait tout intérêt pour Juliette. Elle observa, en détails mais tout de même discrètement, ses gestes manquant un peu d'élégance. S'essuyer les mains pleines de sueur sur le jean tout de même. Juliette ne nota pas, aussi soulagée que lui qu'il se reprenne un peu.

    Enfin il entra dans le vif du sujet. Une discussion relative à leur présence à Pré-au-lard, des achats oui ... Des livres. Ca faisait classe non? Chez les Serdaigles ça donnait toujours un bon effet, même si c'était un grand classique. Pour se mettre Gasher dans la poche il en fallait peut être plus, peut être ... Peut être que du papier à lettre et de l'encre sonneraient plus littéraire encore, l'idéal serait même un peu de bon vin français pour faire passer le tout. Cela rendrait Melinda énigmatique, a priori sainte n'y touche mais sirotant un fin alcool à ses heures perdues de poète maudit, et puis c'est le genre de cadeau qui ferait plaisir à Bliss en amont (Juliette détestait le vin et toutes formes d'alcool).
    Bien, la liste des courses était faite, maintenant restait à savoir comment récupérer la bouteille de vin. Ca s'était un sacré challenge. De l'alcool c'était déjà pas ultra facile, mais du vin, enfin du BON vin, en Angleterre ... C'était pas les Volepiaires qui vantaient les mérite du vin acheté en Angleterre.

    Bon, c'est vrai pour le coup Juliette était en train de perdre se bon vieux Apollinaire de vu, elle le regardait reprendre place dans l'herbe sans trop avoir l'air présente. Elle ne réalisa pas tout de suite qu'il l'incitait fortement à prendre place à côté d'elle. Elle se réveilla quand il repris la parole. Ah oui ! Donc l'herbe, en pourcentage ... * QUOI ?!*
    Non attend, c'était surement sensé être drôle, oui sans le moindre doute, ces propos étaient drôles, en tout cas ils l'étaient pour Melinda. Donc Melinda, ou plutôt, son enveloppe charnelle rigola.

    " Hihihi ... Apollinaire tu es amusant comme garçon tu sais."


    Annonça-t-elle d'un ton aguicheur tout en prenant finalement place à côté de lui. Les courses attendraient bien un peu. Juliette haussa doucement les épaule en se raclant la gorge, ses cheveux tombaient délicatement sur ses épaules et cela sous un arbre à la lumière du soleil donnait un effet très romantique. Juliette n'avait pas tout à fait conscience de la puissance séductrice de ses gestes. Elle pris appui sur le tronc de l'arbre et tourna sa tête vers Apollinaire,

    "En effet j'ai quelque courses à faire, mais ce n'est pas très urgent. En fait ... je voulais ... surtout te ... "

    "GROAK."

    Juliette planta sa main dans sa sacoche, quelle idiote cette Charlyn ! Non attend ! C'était sauvée par le gong ! Ca tombait à pic en fait. Apollinaire allait rester sur sa fin, imaginer la suite de la phrase et Melinda n'avait qu'a profité de la présence de Cha pour jouer les demoiselle en détresse. Apollinaire risquait peut être de la reconnaitre, mais d'abord ce n'était pas sur, et elle pouvait toujours feinter.

    "Aaaah !"

    Melinda attrapa le poigner d'Apollinaire et le serra de toute ses forces,

    "C'est vert ! C'est gluant, aide moi! "


    Après cette réplique magnifiquement mièvre elle secoua son sac à bout de bras en se resserrant contre le garçon. Et vit une fiole pleine de polynectar briller à la lumière du soleil, alors sa panique devint réelle, elle cria,

    "NOOON ! "

    Si il choppait la fiole s'était foutu. Mais Charlyn sortit du sac avant qu'il n'ait pu intervenir. Melinda ramena instantanément sa besace vers elle, toujours bien accrochée à Apollinaire pour qu'il ne puisse pas réellement tenté de s'occuper de la grenouille et jeter un coup d'oeil malheureux dans le sac. Lorsque la pauvre Charlyn qui ne savait pas où aller avait commencé à s'éloigner, Juliette se calma visiblement. Sa respiration avait baissé et elle tourna son visage rosi par la panique face à celui d'Apollinaire. Ils étaient très proches maintenant, et encore un peu tremblante, elle lâcha dans un souffle,

    "Excuse-moi ... "


    Fixant les yeux du garçon, puis baissant timidement son visage elle s'écarta doucement, il ne fallait pas non plus qu'elle ait l'air de trop être à l'aise dans cette position. Hors de la vue du garçon, et certainement de son attention, elle ne pu s'empêcher d'avoir un léger sourire satisfait tout en resserrant l'étreinte de ses doigts autour de son sac.
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Apollinaire J. Gasher
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MessageSujet: Re: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyDim 16 Aoû - 19:43

Apollinaire obtint l’effet escompté. Melinda ria niaisement, tout comme le prévoyait Apo. Décidément, il s’y connaissait bien en fille ! Il se demandait même pourquoi il n’arrivait pas à attraper plus de filles que ça dans ses filets. Il avait tellement de tact… Les chevilles qui enflent ? Certainement ! Et même si le jeune Serdaigle était relativement mignon, il fallait tout de même l’avouer… Il avait un caractère de troll des marécages. Mais apparemment, il venait de bien entamer les réjouissances avec Melinda. Ne faisons pas de bourdes !

Pourquoi les phrases les plus intéressantes sont elles celles qui sont toujours coupées ? En fait ... je voulais ... surtout te… Surtout te QUOI ? Dans le cas présent, ce fut l’arrivé d’une grenouille qui coupa la parole à Melinda. Enfin, elle aurait très bien pu finir sa phrase, mais elle paraissait prendre plaisir à faire durer le suspens. A moins que se soit inconscient ? Car les filles comme Melinda sont rarement dotée d’autant de malice et de ruse. Alors, revenons aux choses plus importantes. Elle voulait quoi ?

L’inviter à prendre un verre

Lui dire que son bermuda fuchsia lui moulait les fesses

Qu’il était drôle

Qu’il sentait le fennec

Qu’il trainait avec une bande d’amis totalement débile

Qu’il était sexy lorsqu’il mettait ses lunettes



Apollinaire pouvait se poser ses questions durant une éternité. Mais la belle appela à l’aide, et une princesse en détresse se devait d’être sauvée ! Romantique Apollinaire ? Même pas en rêve…

Puis tout s’enchaina, Melinda s’agrippa avec force à Apollinaire, une grenouille s’échappa. L’espace d’une seconde, l’idée vint à Apollinaire qu’il l’avait déjà vu. Mais toutes les grenouilles se ressemblent non ? Le petit étincellement de la fiole attira l’œil du garçon, mais il n’eut pas le temps de tourner les yeux qu’elle disparut au fond du sac. Pour Juliette, un grand drame venait d’être écarté, et pour Apollinaire, s’en était peut être un qui allait commencer…

Car la jeune fille, s’excusa dans un souffle, à quelques centimètres d’Apollinaire. Elle se détacha de lui doucement et tourna la tête. Mais cela, Apollinaire ne s’en rendit pas compte, car le regard dans le vide, les idées ailleurs et les hormones en ébullition, il était totalement pommé. Il en fallait peu pour déstabiliser le brun.

Puis comme une bulle qui éclate, il revint à la raison et se tourna vers Melinda. Il prit une mèche de cheveux de la jeune fille qui tombait sur le côté et lui la mis derrière les oreilles. Encore sous le choc de, c’était sans doute le meilleur moment pour passer aux choses sérieuses…

« - Au fait, tu allais me dire quoi tout à l’heure, avant que la grenouille vienne t’embêter ? »

Melinda allait sans doute découvrir une chose : Apollinaire n’abandonne jamais. C’est surement cela qui fait sa force de caractère. Il se décala de quelques centimètres, juste pour effleurer légèrement la cuisse de Melinda, sans pour autant la coller. Il croisa les jambes, en tailleur et reposa tout le poids de son corps sur ses bras qu’il abattit sur le sol, derrière lui, non sans mettre son bras droit derrière le dos de la Serdaigle.

Très entreprenant, Apollinaire ne perdait généralement pas de temps pour ce genre de choses…

« - Tu sais, je ne crois pas qu’une autre grenouille va s’échapper de ton sac ! Tu peux le lâcher maintenant… »

Apollinaire prit la main de Melinda dans la sienne, et la fit abandonner sa prise sur le sac. Il reste quelques secondes ainsi, profitant du parfum de la jeune fille et se remit en position.

Petit à petit, mais surement…
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Juliette Volepiaire
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MessageSujet: Re: L'air de la campagne   L'air de la campagne EmptyDim 23 Aoû - 22:39

    Elle avait eu sacrément chaud la mignonne, à deux doigts de se faire pincer, les yeux dans le sac. Mais heureusement les charmes féminins avaient réussis à détourner notre charmant Apollinaire des bourdes de Juliette. Charlyn était partie bouder ailleurs, et quand bien même elle reviendrait Juliette saurait faire en sorte que le garçon n'y fasse pas trop attention. Maintenant ce qu'elle devait faire, c'était avancer la situation. C'était une tâche délicate, car Juliette commençait à flipper dans le corps de cette fille. Finalement l'attitude d'Apollinaire ne la mettait pas à l'aise du tout, ce corps l'embarrassait un peu finalement. Si elle continuait à jouer avec comme ça, à lui enrober le coeur de douceurs elle avait l'impression qu'elle ne pourrait pas revenir à une relation sans proximité physique. Ca c'était un truc qui la faisait rire quand il s'agissait des autres, mais elle, elle était trop jeune et Apollinaire trop vieux, en plus c'était des trucs dégueux!
    Le voila qui avait ce regard tout vide, et même si Juliette sentait son plan (approximatif) fonctionner, elle trouvait tout de même que ça allait trop vite.
    Son sourire malicieux disparu doucement, pour avoir une moue plus inquiète. Finalement elle releva le visage au même moment qu'Apollinaire reprenait ses esprits. Elle aurait pu reprendre les siens de la même manière, si il n'était pas en train de lui attraper une mèche de cheveux. Ju eu un frisson sur la tempe, ne sachant pas si il s'agissait d'un frisson de plaisir du à la caresse du garçon, ou de dégout devant tant de mièvrerie. Perdue, elle se trouva prise de cours devant la question du garçon. Elle détourna son regard, vraiment embêté, hésitante entre l'énervement que cela provoquait en Juliette et la gène attendrissante que ressentirait Melinda si elle était réellement à cette place. Elle se racla la gorge, et se son lui fit reprendre ses esprit, elle releva la tête vers Apo' et afficha ce petit sourire gêné, les joue en feux,

    * Si tu savais mon pauvre vieux ... *

    Elle se sentait doucement reprendre les rennes, mais encore très troublée par la situation, elle se demandait comment elle allait s'en sortir sans que Melinda ne passe pour une sainte n'y touche. Bon, Sainte n'y touche elle l'était, mais le but était de la rendre sexy pendant ces deux pauvres heures, histoire qu'elle se fasse remarquer par Apo, qui rappelons le, avait l'air de déprimer pour une raison que Ju ne connaissait pas. Pour l'instant.

    Juliette s'apprêtait à lui répondre, elle ouvrit délicatement la bouche, et commença sur un ton hésitant,

    "Oh ... heu oui, c'est vrai ... je voulais te ... enfin, heum ... Il fallait que je te. "


    Coupure, elle sentie une main lui frôler la cuisse! D'une ça la glaça réellement sur place, et de deux elle pouvait une fois de plus couper sa fichue phrase dont elle n'avait aucune idée de la fin. Elle réalisa cependant, qu'Apollinaire attendait sérieusement la réponse, et que si elle tardait plus il allait lâcher l'affaire. Elle réagit donc de manière détachée à la main sur sa cuisse, en la retirant doucement, décollant doigts après doigts la main d'Apollinaire puis glissant ses propres minces et doux doigts sous la paume du garçon. Elle les laissa tomber sur l'herbe, et fit doucement glisser sa main sur celle d'Apollinaire, pour lui montrer qu'elle n'était pas contre une approche, mais qu'il ne fallait pas aller trop vite. Mais tout ces gestes la gamine ne les calculait pas vraiment, elle n'y prêtait que le stricte minimum d'attention à vrai dire, dans sa tête Juliette cherchait activement une fin parfaite à sa phrase. Et ne remarqua même pas la main qui se glissa ce coup ci derrière son dos, laissant le garçon libre de prendre ses aises.
    La chute de cette phrase était décisive, elle devait montrer son intérêt pour le garçon, mais sans faire trop de rentre-dedans. Pendant que Juliette était perdue dans ses pensées, il dit quelque chose, elle ne réagit pas vraiment, se disant vaguement que sa chute était bientôt prête et qu'il devait s'impatienter.
    Elle papillonna des yeux, et c'est alors qu'il se saisit de sa main, la forçant à lâcher son sac,

    "Non ."

    Lâcha-t-elle sans vraiment d'autorité, mais comme une sorte de plainte inconsciente. Finalement elle laissa sa main fondre dans celle d'Apollianire, et comprenant maintenant ce qu'il venait de dire, réalisa qu'il la séparait de son sac. Avait il compris ? Juliette pris le parti risqué de faire comme si ce n'était pas le cas, et sourit tendrement,

    "Tu as raison. Heum ... Oui, écoute je suis venu te voir en fait. Ah ! Je l'ai dit ?"

    Elle sourit une nouvelle fois, et rigola faiblement, avant de reprendre, plongeant lentement ses yeux dans ceux d'Apollinaire. D'ordinaire les yeux de Melinda se tintaient rarement d'une quelconque émotion, mais lorsque c'était Juliette qui se trouvait derrière, il devenaient pétillants, malicieux et tendres à la fois. Elle rattrapa doucement la main d'Apollinaire la serrant même un peu sous le coup de l'émotion,

    " Je ne sais pas trop comment je pourrais t'expliquer ça, mais. J'ai de l'affection pour toi, ça fait longtemps que nous sommes dans la même maison, et ... je t'ai repéré une fois, par hasard. Je t'apprécie vraiment, et ... ces derniers temps, tu as l'air triste ... je n'ai jamais voulu ... comment dire ... "

    Elle eu une moue malicieuse et continua,

    "En quelque sorte, m'imposer dans ta vie. Mais je n'aime pas trop te voir triste comme ça ... et je me demandais si ça te ferais plaisir de passer l'après-midi avec quelqu'un de différent pour te changer les idées."

    Voila, en somme, Melinda ne voulait pas forcément sortir avec Apollinaire, elle n'était simplement pas contre, et tenait officiellement à lui remonter le moral. Elle avait trop de fierté ou de timidité, pour déballer ses réels sentiments, mais lui avait suffisemment de perspicacité pour saisir la réalité des choses.
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