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Le Deuxième Etage :: Toilettes des Filles et de Mimi Geignarde

Smelly Cat, Smelly Cat, what are they feeding you ? ♫ [Juliette]

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Bliss Joke
:: Gryffondor::
Elève de 7ème année

Humeur :

Baguette Magique : 17,3cm, bois de rose, de couleur miel contenant une écaille de serpent doré.

Statut Sorcier : Sang-mélé !

Animal de Compagnie : Chat

Nourriture Favorite :

Feuille Phoenixiene

Gallions: 50
RP: 1

Journal à Notes:

Avatar by Dim' (L)

/ Des pâtes des pâtes oui mais des Panzani *BANG* /

Sujet: Smelly Cat, Smelly Cat, what are they feeding you ? ♫ [Juliette] Mer 29 Juil - 17:31

[Le titre n'a aucun rapport avec le RP, c'est juste un délire et je n'ai rien trouvé de mieux XD. Si j'ai bien compris ce que Juliette voulait, ce sujet est une sorte de retour en arrière : rencontre Juliette/Babyliss.] « Mais Mimi, je t'assure que... » « JE NE VEUX PAS LE SAVOIR ! Tu trouves toujours des excuses pour me fuir ! Tu es comme les autres garçons, tu te fiches bien de savoir ce que je pense ! C'est quoi, encore, un pari ? Ça vous amuse tellement de faire souffrir la pauvre Mimi et de l'entendre pleurer partout dans le château ?!JE TE HAIS, BLISS JOKE ! » Bliss n'eut pas le temps de répondre qu'une gerbe d'eau l'arrosa à moitié. Au moins, si ce matin il n'avait pas pris de douche, c'était fait à présent. Sauf qu'il en avait pris une, ce qui ne changeait malheureusement pas grand chose à l'état dans lequel il se trouvait. Secouant un peu la tête, histoire d'envoyer les gouttelettes qui commençaient à envahir son visage ailleurs, notre septième année soupira de soulagement. Plus jamais il ne fera de pari avec Râh, ce qui, de toutes façons, ne risquera pas d'arriver. C'est facile. Râh est fourbe et vicieux, pire qu'un vert et argent parfois. Il s'était amusé à jouer avec le stupide honneur gryffondoresque de Bliss pour parvenir à lui faire accepter ce défi stupide. Ce qui avait, évidement, très bien marché. Draguer Mimi, et puis quoi encore... Trois semaines, il avait trois semaines pour y arriver, et pas un jour de plus. Ce n'était que la quatrième tentative cette semaine, et elle eut fini comme les trois précédentes : une crise de larme de la part du fantôme. Enfin, ce n'est pas comme si le brun ne le savait pas, puisqu'avec Mimi, tout finissait généralement dans ce genre là. Heureusement qu'elle ne s'arrêtait jamais après ces dernières paroles. Le brun avait peur qu'à la fin, elle finisse par s'attacher vraiment à lui... Il passa sa main dans ses cheveux humide, chose qu'il regretta rapidement. Sa main mouillée, il n'eut d'autre choix que de s'essuyer sur son pantalon qui, par chance, avait été épargné, même si ce n'était plus vraiment le cas après avoir servi de serviette. Le brun maudit son meilleur ami : nous étions le matin, peu avant midi, voyez-vous. Faire trempette et puer le chien mouillé toute la journée, non merci. Évidemment, un sorcier normalement constitué aurait tout de suite penser à utiliser la magie pour au moins se sécher, mais pas monsieur Joke. Bien qu'il soit un sorcier normalement constitué - pas de doute là-dessus, je vous prie, sa mère l'avait habitué à se débrouiller par lui-même, sans avoir recours à la magie. Elle lui disait toujours qu'un jour, lorsqu'il se retrouvera dans une situation où il ne pourrait se servir de sa baguette, les façons moldues lui seraient bien utiles. Enfin soit. Il fit donc ce qu'il put pour s'essuyer avec ce qui se trouvait à portée de main, c'est à dire pas grand chose. Il fit donc la razzia au niveau du papier toilette. Inutile de vous expliquer à quoi il servit. Heureusement que personne ne se trouvait dans les environs. Pas qu'il se souciait de sa réputation – un peu quand même – mais si un Serpentard venait à rentrer dans ces toilettes, bien qu'il ne voyait pas un mâle – vous savez, les vrai Serpentards - faire ses besoins dans le coin des filles, et encore moins avec Mimi à côté. Il secoua la tête de droite à gauche dans l'espoir de faire partir la moitié de l'eau qui faisait pression sur ses cheveux habituellement en bataille. Un miroir lui indiqua que sa manœuvre avait échouée, puisque sa chevelure brune était toujours aussi aplatie. Quelques mèches lui tombaient devant les yeux, lui cachant à moitié la vue et sa chemise lui collait au corps, chose qu'il détestait. Il grimaça, pris entre ses doigts une partie du bout de tissu inondé et l'essora avant de l'aérer un peu. Bien sûr, la pensée que cette tactique ne puisse pas marcher ne lui traversa pas l'esprit, il poussa donc un soupir d'exaspération lorsqu'il s'en aperçu. « Râh va voir ce qu'il va voir... Quand je ne puerais plus l'eau des toilettes ! » Il faut dire que cette odeur n'était pas des plus... Alléchantes, c'est le cas de le dire. Il songea à retourner en vitesse dans son dortoir, pour s'ensevelir sous une tonne de gel douche. Mais il ne voulait pas vraiment se balader dans les couloirs dans cet état... Qui sait sur qui il pourrait tomber. Il entreprit alors d'enlever sa chemise dans le but de la faire sécher un maximum avant de repartir. Le soleil qui traversait les vitres de la pièce lui servirent de séchoir. Espérant vraiment que personne ne vienne le déranger, il accrocha comme il le put son vêtement et fit le tour des toilettes pour y trouver n'importe quoi qui puisse le dépanner. Il ne trouva rien de vraiment concret et soupira de fatigue, cette fois-ci. Il ne lui restait plus qu'à attendre que sa chemise sèche un peu plus. Et l'idée d'utiliser sa baguette - qui se trouvait dans la dite chemise - ne lui vint même pas à l'esprit. « 'Manquerait plus que le concierge se la ramène... » Dit-il, torse nu, assis contre le mur de pierre juste en face d'un lavabo, en marmonnant dans sa barbe inexistante les pires insultes possible qu'un Gryffondor puisse dire à l'encontre de son meilleur ami.

Juliette Volepiaire
:: Serdaigle ::
Elève de 1ère Année

Humeur :

Baguette Magique : 22 cm, Bois d'ébène et poil de nez de lutin.

Statut Sorcier : Officiellement sang pur

Animal de Compagnie : Grenouille

Nourriture Favorite :

Feuille Phoenixiene

Gallions: 67
RP: 14

Journal à Notes:

- arriver à faire sauter Charlyn à 50 cm du sol. Essayer de lui faire porter des messages aussi.

- écrire une lettre à Charly.

- s'inscrire dans l'équipe de Quidditch coute que coute. 

- BLISS JOKE.

- Melinda S. Et Apollianire G.  (=B)

Sujet: Re: Smelly Cat, Smelly Cat, what are they feeding you ? ♫ [Juliette] Ven 31 Juil - 0:33

[Oui oui, c’est comme ça que je voyais les choses. Superbe choix de décors en tout cas mon cher.] "N'est pas Volepiaire qui veut !" C'est ce qu'avait toujours dit Duncan le chef de la famille, le grand manitou qui n'assurait pas du tout. Drôle de père que celui-ci qui pense plus à faire la bringue qu'a élever ses enfants. Depuis combien de temps Juliette n'avait pas eu de nouvelles de lui ? Deux ? Trois ans ? Sa mère avait disparue dans une maladie douteuse et semblait ne plus se préoccuper que de ses médicaments. "N'est pas Volepiaire qui veut!", Juliette avait chéri cette phrase avec une telle intensité ! Elle était comme une formule magique qui lui faisait penser que les Volepiaire étaient une famille unie. Mais avoir recours à un tel sortilège était bien la preuve que tout s'écroulait comme un château de carte. Lorsque Juliette pensait à sa famille, à ce qu'elle avait été, à ce qu'elle était, une vague glacée lui ravageait le corps et la lacérait de frissons. Charles, Charly, Grand frère, lui c’était un vrai Volepiaire, il était courageux, il était intelligent, il ne lui manquait que du muscle … Enfin, il y a quatre ans c’est tout ce qui lui manquait, de quoi avait il l’air maintenant ? Charly c’était sa lumière, Poudlard n’était qu’un champs de ruine sans au moins un Volepiaire à ses côtés. Bien sur ils correspondaient, et Juliette mettait tout son cœur à lui répondre le plus vite possible. Mais il y avait toujours cette lettre, au fond du tiroir, au fond de la poche, au creux de la main, une lettre qui était adressée à « Chères Parents. » Celle qu’elle réécrivait sans cesse, qui n’était jamais envoyé car elle ne semblait pas suffisante. La reconnaissance de ses parents était devenue un trésors inestimable, Juliette se sentait encore trop lâche pour les affronter de nouveau. Bon sang, qu’est ce qui avait bien pu se passer pour qu’elle devienne si inexistante, elle qui était le centre du monde il y a encore quelques années ? Ce qu’elle avait l’air petite dans ces couloirs. La lettre était encore toute chaude, une énième missive pour le couple parental qui avait quelque chose de Divin, la haut dans leur Olympe français, les lettres pouvaient elles vraiment les atteindre ? Juliette regardait ses pieds, ce qu’elle avait l’air fragile tout à coup. Pleine de doute, jusqu'à ce qu’elle s’arrête au point M exact qui désignait le centre mathématique du couloir. Doute. Non, pas cette fois, pas encore, c’était trop tôt, trop peur, si la lettre ne recevait pas de réponse ? Si la lettre n’arrivait jamais ? Si ils étaient morts ? Non, bien sur les dieux ne meurent jamais, mais ils oublient… Et si c’était Juliette qui était morte pour eux ? A onze ans, même lorsque l’on s’appelle Juliette Volepiaire on est un peu lâche, il y a des choses qu’on ne peut pas faire si personne n’est avec nous. Coup d’œil à gauche, coup d’œil à droite, histoire de vérifier que personne ne soit soudainement venu nous tendre la main. Charlyn, la grenouille, qui n’a rien compris à tout ça et qui roupille gentiment sur l’épaule de la gamine. Soupir. La lettre se froisse dans la petit paume, elle se réduit, remonte doucement jusqu'à la poitrine, est saisie par la deuxième main (la main gauche pour être exact). En même temps que ces deux mains entament sur la pauvre lettre un acte destructeur, les pieds, les mollets, les cuisses, les genoux s’emballent. L’enfant fuit dans les profondeur du château, honteuse de sa lâcheté, la lettre réduite en lambeaux disparaît pour toujours au fond d’une poubelle, mais, pas une seule, non pas une, larme ne coule. Pas une larme de colère, ni de honte et encore moins de tristesse ne vint caresser se visage de poupée, ni même apaiser la lourdeur de ses paupières de pierre. Les pas furieux s’arrêtèrent lorsque leur bruit raisonna sur les carreaux. Les toilettes des filles, au deuxième étage, étaient étonnement peu fréquentées, étonnement, non, pas tant que ça. Mimi geignarde était un argument suffisant pour éloigner filles ou garçons de son repère. D’ailleurs, bien que Juliette ne se trouve pas encore dans la salle d’eau, les cris du pauvre fantôme retentirent une fois de plus et détournèrent un peu l’attention de la jeune fille de ses idées noires. Ohoh ! Capacité fascinante Juliette avait des problèmes pour la concentration, mais l’avantage c’était qu’elle savait aussi passer du coq à l’âne en moins de deux. Les paroles de Mimi Geignarde étaient tout ce qu’il y avait de plus intrigant. Ces quelques mots en particulier retinrent l’attention de la gamine, « …Tu es comme les autres garçons… » Une garçon dans les toilettes des filles, ça n’avait rien d’un scoop mais ça le devenait sans problème lorsqu’il s’entretenait fermement avec Mimi geignarde. Un garçon, faisait la cours au fantôme le plus romantique du château, c’était soit trop mignon, soit trop drôle, tout dépendait de la personne qui percevait la scène (en l’occurrence Juliette), mais aussi de celle qui est était l’instigatrice (autrement dit, ce mystérieux garçon). Soyons honnête, si Juliette occupait le premier rôle, cette scène ne pouvait lui apparaître que drôle, mais ça faisait un sacré ragot à répandre. A pas feutré la gamine s’approcha des toilettes. Très silencieuse elle guetta la suite de la conversation. C’est le garçon qui repris, tout seul, elle stoppa encore sa marche pour l’entendre, il parlait moins fort. Il parlait tout seul ? Juliette ne compris pas, elle n’était pas suffisamment et le type marmonnait. Encore hors de sa vue, elle hésita à s’approcher. Quelques secondes se passèrent, pas de voix, mais pas de bruit de pas non plus. Non de dieu mais que faisait ce type dans les toilettes des filles ! Tout à coup, des tonnes de scénario naquirent dans l’esprit (un peu tordu) de la Serdaigle, et elle voulu voir de ses propres yeux ce qu’il en était. Ses chaussures risquaient de faire un bruit fracassant et traitre si elle continuait à marcher avec. Elle les enleva TRES délicatement, et continua à pas tout doux en chaussettes. Il ne se passa pas longtemps avant qu’elle ne se retrouve plaquée contre le mur des toilettes, elle était enfin arrivée au point stratégique, la dernière barrière avant d’entrer dans le champs de vision direct du garçon, pour peu qu’il ne se trouve pas dans un cabinet (comme l’un des nombreux scénario le supposait). Les chaussures toujours dans une main, et la deuxième collée au mur, Juliette s’était retournée, et passait maintenant sa tête de l’autre côté du mur. Holly Shit ! A POIL LE MEC ! Non sans déconner, qu’est ce qu’il foutait dans cette tenue ! Non attend ! C’était possible qu’il soit en train de faire des trucs avec Mimi geignarde et qu’il se soit fait virer en pleins milieu de l’acte ? On peut vraiment faire se genre de trucs avec un fantôme! La gamine était scotchée. Bon, bon, ça ne suffisait pas d’imaginer mille et une possibilités, il fallait en apprendre plus, et puis découvrir son identité, Je l’ai peut être déjà vu quelqu … Ses yeux plissés s’agrandirent tout à coup, elle fit volteface et plaqua son dos contre le mur. Bêtement, elle poussa un petit cris, « OH ! » Si elle l’avait déjà vu quelque part !? Oué sur ! C’était Bliss JOKE ! Le papillon de la grande salle ! Il y a quelques jours, lors de la cérémonie de répartition elle avait repéré le type. C’est pas qu’il lui avait fait beaucoup d’effet sur le coup, elle l’avait juste capté, l’avait identifié comme une des grandes figures de Poudlard, un septième année assez incontournable parmi d’autres. Et voilà qu’elle le surprenait en pleine exhibition de ses pectoraux. Ca c’était un superscoop ! Mais Juliette n’était pas bête, elle savait qu’elle était grillée, quelle nouille, non mais franchement, « Oh ! » … IDIOTE ! Elle soupira puis inspira un bon coup avant de revenir dans le champs de vision du septième année, les chaussurestoujours fermement empoignées par la main gauche. Pas la peine de se cacher plus longtemps et d’être stupidement découverte. Elle aurait au moins le plaisir de le voir tout gêné d’être ainsi découvert. « Hey … » Elle s’apprêtait à l’apostropher avec vigueur pour ne pas perdre la face, mais sa voix se perdit quelque par allez savoir où. La voilà muette, devant un grand majestueux et charismatique garçon, moitié nu juste devant elle. Des garçons torse-nu elle en avait déjà vu, mais pas des gars viril comme ça. Elle s’empourpra tout de suite, et se sentit conne. Son regard dévia un peu plus loin, juste assez pour voir une chemise mouillée, qui pendait à proximité… Qu’est ce qui s’était passé avec Mimi Geignarde ? En tout cas il allait falloir qu’elle se reprenne un peu si elle voulait le découvrir.

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